Une vingtaine d’étudiants français de spécialisations très différentes se sont réunis dès l’automne 2001 dans l’idée de crée un journal politique et culturel sans dépendance hiérarchique et intolérance idéologique. Le concept a pu s’affirmer durant deux bonnes années dans une ambiance de débats riches et démocratiques avant de se concrétiser lors d’une première parution en février 2003. Depuis, « Kactus » est un bimensuel comptant autant sur les contributions de ses étudiants en droit, économie, design, sciences politiques, histoire, langues, art ou littérature que sur les interventions de ses correspondants étrangers. Mais Kactus, c’est avant tout, véhiculer une information claire et globalisante. Il s’agit en effet de traiter les sujets qui permettent de façon accessible et judicieuse de caractériser le monde dans lequel nous vivons, et non de retranscrire une déclaration institutionnelle quelconque ou un fait divers d’importance limitée. Nous voulons échapper au spectre de l’actualité, pour nous consacrer à des sujets peu ou pas abordés par les journalistes.
Pour essayer de rassembler des avis culturellement différents sur des questions cruciales comme la gestion de l’eau, les formes de terrorisme, le sexe dans les médias ou encore la protection sociale des étudiants, nous faisons participer des étudiants du monde entier à notre projet. Il est à notre avis intéressant d’obtenir une mosaïque internationale de points de vues sur des thèmes d’importance internationale qui font habituellement l’objet d’un traitement d’inspiration purement nationale.
Kactus, propose donc la chose suivante aux étudiants étrangers :
Nous décidons d’un thème que nous vous envoyons tout les mois. Si ce thème vous intéresse, vous pouvez nous écrire un article de l’ordre de 2500 signes dans les 3 semaines qui suivent. A la réception, vos articles seront corrigés en ce qui concerne la forme et la longueur (le fond ne sera pas touché) et vous serons renvoyés pour approbation. Si les modifications sont approuvées, votre article sera publié dans le journal papier et / ou le site internet. Cela sera peut être l’occasion pour vous de vous exercer à l’écriture française !